« Châpiteau » : avec un accent circonflexe ou sans ?
Chapiteau s’écrit toujours sans accent circonflexe : chapiteau.
Chapiteau s’écrit toujours sans accent circonflexe : chapiteau.
À l’origine, on écrivait toujours goûter avec un accent circonflexe.
Depuis la réforme de l’orthographe de 1990, on peut écrire gouter (qu’il s’agisse du nom ou du verbe) avec ou sans accent circonflexe.
Néanmoins, on notera que l’usage de goûter (avec accent circonflexe) reste largement majoritaire.
On ne met d’accent circonflexe à Vous dîtes qu’au passé simple.
Chaton s’écrit toujours sans accent circonflexe : chaton.
À l’origine, on écrivait toujours fraîcheur un accent circonflexe.
Depuis la réforme de l’orthographe de 1990, on peut écrire fraicheur (qu’il s’agisse du nom ou du verbe) avec ou sans accent circonflexe.
Néanmoins, on notera que l’usage de fraîcheur (avec accent circonflexe) reste largement majoritaire.
Traiter s’écrit toujours sans accent circonflexe : traiter.
Ajout s’écrit toujours sans accent circonflexe : ajout.
À l’origine, on écrivait toujours connaître un accent circonflexe.
Depuis la réforme de l’orthographe de 1990, on peut écrire connaitre (qu’il s’agisse du nom ou du verbe) avec ou sans accent circonflexe.
Néanmoins, on notera que l’usage de connaître (avec accent circonflexe) reste majoritaire.
Rater s’écrit toujours sans accent circonflexe : rater.
Lorsque matinée est un nom commun (synonyme de matin), il s’écrit sans accent circonflexe : matinée.
Néanmoins, lorsque mâtinée est utilisé en tant que participe passé féminin du verbe mâtiner ou comme adjectif, on l’écrit avec un accent circonflexe : mâtinée.
Barème s’écrit sans accent circonflexe mais avec un accent grave sur le premier « e » : barème.
Lorsque du est un article défini (contraction de de et le), il s’écrit sans accent circonflexe : du.
Néanmoins, lorsque dû est utilisé en tant que participe passé masculin singulier du verbe devoir, on l’écrit avec un accent circonflexe : dû (note : cette règle n’est valable que pour la forme masculin singulier du participe passé. Ainsi, on écrira il est dû, mais elle est due, ils sont dus et elles sont dues).
À l’origine, on écrivait toujours boîte avec un accent circonflexe.
Depuis la réforme de l’orthographe de 1990, on peut écrire boite avec ou sans accent circonflexe.
Néanmoins, on notera que l’usage de boîte (avec accent circonflexe) reste largement majoritaire.
Vous faites s’écrit toujours sans accent circonflexe, quel que soit le temps ou le mode auquel on conjugue le verbe faire : vous faites.
Parmi les mots avec un « a » accent circonflexe, on peut trouver :
Parmi les mots avec un « i » accent circonflexe, on peut trouver :
L’accent aigu peut être apposé sur la voyelle « e » uniquement (« é »), quand on peut retrouver l’accent grave sur le « a », le « e » et le « u » :
Côté prononciation, l’accent aigu indique un son fermé (/e/) et l’accent grave un son ouvert (/ɛ/).
Aussi, l’accent aigu est représenté graphiquement par une barre montante, tandis que l’accent grave est représenté par une barre descendante.
En français, le record d’accents aigus dans un même mot est de cinq, et il est détenu par cinq mots à égalité :
On ne trouve pas d’accent aigu en anglais, sauf si le mot est emprunté à la langue française.
Il existe trois types d’accent en français :
Le rôle est à chaque fois de souligner la prononciation de la lettre qu’il orne ou de distinguer des mots homonymes ou homophones.
À l’origine, on écrivait toujours dînatoire avec un accent circonflexe.
Depuis la réforme de l’orthographe de 1990, on peut écrire dinatoire avec ou sans accent circonflexe.
Sur Windows, faire un tiret cadratin au clavier nécessite l’usage d’un raccourci clavier, qu’il n’est possible de composer qu’avec un pavé numérique.
Or, tous les claviers, notamment lorsque vous travaillez sur un ordinateur ultra-portable, n’en possèdent pas.
Dans ce cas, si vous souhaitez faire un tiret cadratin sur Word, il vous faudra passer par le menu Insertion et suivre la procédure suivante :
Symbole > Autres symboles > Tiret cadratin.
Un signe diacritique est un signe ajouté à une lettre de l’alphabet ou à un graphème afin de le distinguer d’un autre mot homographe ou d’en modifier sa valeur.
Exemples et liste de signes diacritiques en français :
Les signes diacritiques sont très variables en fonction des langues (tilde en espagnol, comme au sein du nom propre São Paulo, par exemple).
On insère toujours une espace avant la parenthèse ouvrante, jamais après.
De manière identique, on insère toujours une espace après la parenthèse fermante, jamais avant.
En cas de doute, n’hésitez pas à utiliser notrecorrecteur d’orthographe et de grammaire Quillbot !
En français, les 10 principaux signes de ponctuation sont :
La poésie de Renée Jeanne Mignard sur la ponctuation est l’une des plus complètes et inventives que l’on puisse trouver sur le sujet.
Une virgule,
Enfermée dans une bulle
Par un auteur indigne,
Essayait de rattraper
Un point à la ligne
Qui s’était échappé.
Elle escalada une majuscule,
Descendit un point d’exclamation,
Retomba sur un tréma,
Rebondit sur un point d’interrogation,
Trébucha sur une cédille,
Se raccrocha à un point de suspension,
Et plutôt mal à l’aise,
S’arrêta entre deux parenthèses.
Le point, qui ne bougeait point,
Prit un accent grave et dit à un tiret :
« Avant que je ne t’apostrophe,
Ouvre les guillemets, sinon jamais,
Cette brave virgule minuscule
Qui déambule de-ci, de-là
Ne me rattrapera » !
L’accent circonflexe,
Sans complexes,
Déclara avec un accent aigu,
Qu’ils étaient déjà trop à l’étroit,
Et qu’un de plus…
Ce à quoi le point répondit
Que puisqu’il en était ainsi,
Il ferait le trait-d’union
Et prendrait la vagabonde sous son toit.
Ce qu’il fit, ma foi, de bon cœur
Et maintenant, que vais-je faire
De ce point-virgule, dit l’auteur ?
(Renée Jeanne Mignard, « Ponctuation »)
Le « u » compte parmi les trois voyelles qui peuvent prendre un accent grave en français, mais le « ù » est beaucoup moins courant que le « à » ou le « è ».
En réalité, il n’existe qu’un seul mot en langue française qui comprend un « u » accent grave : où (l’adverbe de lieu ou le pronom relatif, à ne pas confondre avec la conjonction de coordination ou).
Les lettres pouvant être surmontées d’un accent grave en français sont toutes des voyelles, et elles sont au nombre de trois :
Par conséquent, on ne retrouve pas d’accent grave sur la lettre « o » dans les textes de langue française.
Les seules voyelles qui peuvent prendre un accent grave en français sont le « a », le « e » et le « u ».
Le « i » ne peut être surmonté d’un accent grave, en tout cas en langue française.
L’accent grave apparaît sur le « a », le « e » et le « u », tandis que l’accent aigu peut être apposé sur la voyelle « e » uniquement (« é »).
Côté phonétique et prononciation, l’accent grave signale un son ouvert (/ɛ/) et l’accent aigu indique un son fermé (/e/).
Enfin, l’accent aigu est représenté graphiquement par une barre montante, tandis que l’accent grave est représenté par une barre descendante.
Pour insérer des guillemets français sur Windows, on peut utiliser les raccourcis clavier Alt+0171 («) et Alt+0187 (»).
À l’origine, on écrivait toujours entraînement avec un accent circonflexe.
Depuis la réforme de l’orthographe de 1990, on peut écrire entrainement (qu’il s’agisse du nom ou du verbe) avec ou sans accent circonflexe.
Néanmoins, on notera que l’usage d’entraînement (avec accent circonflexe) est largement majoritaire.
À l’origine, on écrivait toujours maîtrise avec un accent circonflexe.
Depuis la réforme de l’orthographe de 1990, on peut écrire maitrise (qu’il s’agisse du nom ou du verbe) avec ou sans accent circonflexe.
Néanmoins, on notera que l’usage de maîtrise (avec accent circonflexe) est largement majoritaire.
Problème s’écrit sans accent circonflexe mais avec un accent grave sur le premier « e » : problème.
Souhaiter s’écrit toujours sans accent circonflexe : souhaiter.
À l’origine, on écrivait toujours il paraît avec un accent circonflexe.
Depuis la réforme de l’orthographe de 1990, on peut écrire il parait (qu’il s’agisse du nom ou du verbe) avec ou sans accent circonflexe.
Néanmoins, on notera que l’usage de paraître (avec accent circonflexe) reste largement majoritaire.
Chaise s’écrit toujours sans accent circonflexe : chaise.
Hôtel s’écrit toujours avec un accent circonflexe : hôtel.
Date s’écrit toujours sans accent circonflexe : date.
Lorsqu’on l’emploie en tant que locution adverbiale pour illustrer ou compléter un propos à l’aide d’un cas concret, on place toujours la virgule avant par exemple, jamais après.
Pour faire un C cédille majuscule (« Ç ») sur Windows, on a le choix entre 2 raccourcis clavier :
Sur Mac, le raccourci clavier du C cédille majuscule est le suivant :
Puisqu’ils ajoutent de l’affect à un propos, les points de suspension sont parfois utilisés pour faire passer des messages implicites. C’est particulièrement le cas dans les SMS ou les mails informels.
Par exemple, un OK. ne sera pas interprété de la même manière qu’un OK… envoyé par SMS.
Par ailleurs, des études menées en linguistique et psychologie sociale ont permis d’observer que les points de suspension sont d’autant plus utilisés dans les SMS que l’expéditeur est âgé, parfois sans qu’un réel sens implicite se cache derrière. Les points de suspension représentent pour les séniors une façon plus douce que le point de couper une conversation.
À l’inverse, les jeunes générations l’utilisent avec plus de parcimonie, car ils ont davantage tendance à l’interpréter comme une façon détournée de signifier son désaccord ou sa vexation, voire une invitation au conflit.
Les noms de villes qui ont un « y » avec tréma dans leur nom sont très rares. Sur le territoire français, on en compte 4 en tout et pour tout.
Le tréma indique que deux voyelles placées côte à côte se prononcent séparément tandis que l’umlaut marque une modification du timbre d’une voyelle.
On peut facilement les confondre, car ils partagent le même signe graphique « ¨ », mais l’umlaut n’existe pas en français.
Sur un clavier AZERTY, la touche tréma se trouve à droite, en première position sur la touche à droite du P.
Pour faire un tréma, on maintient la touche Maj/Shift enfoncée avant d’appuyer sur la touche tréma.
Le point d’exclamation ainsi que le point exclarrogatif ont également une version inversée.
On utilise surtout le point d’interrogation à l’envers en espagnol. D’autres langues romanes proches telles que le catalan ou le castillan, ou encore plusieurs langues régionales d’Afrique de l’Ouest en font également usage, mais ce dernier est beaucoup plus confidentiel.
En dehors de sa fonction de signe de ponctuation, le symbole du point d’interrogation à l’envers (« ¿ ») est repris en phonétique pour représenter un type de consonne.
Sur un clavier français (AZERTY), le c cédille (« ç ») se trouve sur la touche 9 de la rangée supérieure du clavier.
Sur les autres claviers qui offrent d’autres dispositions, comme le clavier QWERTY ou le clavier QWERTZ, il n’y a pas de touche native dédiée au c cédille.
On met toujours une virgule avant car.
On ne met pas de virgule devant et et ou, sauf si la conjonction de coordination est répétée.
La virgule et le point-virgule ne répondent pas tout à fait aux mêmes usages.
Au sein d’une phrase, la virgule permet :
Quant au point-virgule, il sert :
En outre, leurs règles d’utilisation typographiques ne sont pas les mêmes : en français, la virgule est suivie d’une espace, mais collée au mot qu’elle suit, tandis que le point-virgule est encadré par une espace de chaque côté.
À noter que comme avec la virgule, la proposition qui suit le point-virgule débute toujours par une lettre minuscule.
Quand il est employé en apostrophe, c’est-à-dire pour s’adresser directement à quelqu’un, le prénom est séparé par une virgule du reste de la phrase.
En français, on met toujours une espace derrière la virgule et jamais devant.
La règle correspond à ce schéma :
Mot qui précède,[espace]mot qui suit.
La seule exception ne s’applique pas aux mots, mais aux virgules dans les nombres décimaux : la virgule n’est alors précédée ni suivie d’aucune espace.
Pour insérer une espace insécable dans un document HTML, on doit saisir entre les deux mots ou caractères que l’on cherche à séparer.
Dans la grande majorité des cas, le mot espace s’emploie au masculin.
Cependant, lorsqu’il est employé au sens de caractère typographique, le mot espace devient alors féminin et s’accorde comme tel.
L’espace insécable et l’espace fine sont toutes deux des caractères typographiques qu’on utilise pour lier des mots et des caractères entre eux.
L’espace insécable est « un signe typographique qui sert à marquer une séparation entre deux mots, signes de ponctuation ou caractères tout en empêchant que ces éléments apparaissent sur deux lignes différentes ».
L’espace fine, quant à elle, est « une espace plus étroite que l’espace standard entre les mots ». On l’emploie surtout en conception graphique.
À noter que l’espace fine est toujours insécable, d’où le fait qu’on rencontre parfois sa dénomination complète : l’espace fine insécable.
Il s’agit d’un usage beaucoup plus spécifique que ceux que cet article aborde, mais le point d’interrogation est également utilisé dans le système de notation algébrique du jeu d’échecs.
Concrètement :
Lorsque quasi est utilisé comme préfixe devant un nom, il est toujours relié au nom qu’il précède par un trait d’union.
Néanmoins, s’il est placé devant un adjectif, il est suivi d’une espace, et non d’un trait d’union.
Pour insérer des guillemets français sur Mac, on peut utiliser les raccourcis clavier Alt/Option + 7 («) et Alt/Option + Maj/Shift + 7 (»).
Le mot week-end est un anglicisme largement implanté dans la langue française, si ce n’est l’un des plus utilisés. Il renvoie aux deux derniers jours de la semaine calendaire (le samedi et le dimanche).
En français, on peut l’écrire de deux manières : tout attaché ou séparé par un trait d’union.
Attention néanmoins : on ne l’écrira jamais séparé par une espace.
Là-même est un synonyme d’ici-même qui n’est quasiment plus utilisé de nos jours. Tout comme ce dernier, on l’écrit avec un trait d’union.
On ne met pas de trait d’union entre lui et aussi car il ne s’agit pas d’un nom composé.
Au-dessus s’écrit avec un trait d’union, tout comme ci-dessus, là-dessus et par-dessus.
À l’inverse, on écrira en dessus et du dessus, sans trait d’union.
L’adverbe En deçà s’écrit sans trait d’union.
Néanmoins, attention à ne pas le confondre avec Par-deçà, qu’on écrit avec un trait d’union.
Trait d’union a pour synonymes les mots suivants :
Il ne s’agit néanmoins que de mots de sens proches, qui ne seront jamais aussi précis que le terme original.
Quand même est une locution adverbiale synonyme de cependant ou néanmoins. Elle ne prend pas de trait d’union.
On ne met pas de trait d’union entre elle et aussi car il ne s’agit pas d’un nom composé.
Le point d’interrogation est un signe de ponctuation très courant, si bien qu’il possède une touche dédiée sur la majorité des claviers, dont les claviers QWERTY et QWERTZ. Il y a même un emoji point d’interrogation sur la plupart des systèmes de messagerie instantanée.
Sur un clavier AZERTY, le point d’interrogation se situe sur la deuxième ligne de touches en partant du bas, à droite de la touche « N ». Puisqu’il partage sa touche avec la virgule, il est nécessaire de maintenir la touche Majuscule appuyée avant de frapper la touche ?,.
C’est une question qui revient de manière extrêmement courante !
Contrairement aux idées reçues, compte rendu est un nom masculin qui n’intègre jamais de trait d’union.
En écriture inclusive, on préfèrera écrire « cher » comme ceci :
Au singulier : cher·ère.
Au pluriel : cher·ère·s.
L’écriture inclusive et le roman, bien que l’emploi de la première au sein du second soit sujet à polémique, ne sont pas incompatibles. De nombreux romans, qui n’ont aucune vocation militante, font usage de termes épicènes ou de doubles flexions.
À vrai dire, il serait même plutôt difficile de trouver des romans de langue française qui n’en contiennent pas, tant ces procédés font désormais partie intégrante des usages de la langue.
Certains romans, plus marginaux, vont jusqu’à inclure le point médian ainsi que des pronoms neutres, à l’image de Bâtir aussi, écrit par le collectif « Ateliers de l’Antémonde ».
Des romanciers très connus, à l’instar d’Alain Damasio, ont choisi de défendre l’écriture inclusive, mais sous une autre forme que celle proposée avec l’usage du point-médian et des pronoms neutres, jugés selon eux trop confusants et inesthétiques.
Ainsi, en avril 2024 est paru le dernier roman de l’auteur de science-fiction, Vallée du silicium. Dans ce dernier, Damasio signale rapidement à son lecteur, via une note de bas de page, que « Dans ce livre, les pluriels neutres ont été féminisés une fois sur deux. Avec quelque raison, notre époque porte le combat politique au cœur de la grammaire française, pour tenter d’en défaire la domination indue du masculin. ».
Pour citer un exemple concret, au lieu d’écrire « La cathédrale est ouverte aux pèlerins du monde entier », ce qui sous-entend que les femmes sont elles aussi concernées, il écrit : « La cathédrale est ouverte aux pèlerines du monde entier », le terme de pèlerines incluant ici les hommes.
Cette inversion permet à Damasio de faire se questionner le lecteur sur le sexisme intrinsèque des mécanismes déductifs qui interviennent durant nos lectures.
Pour écrire toutes et tous en écriture inclusive, on peut écrire toustes ou tous·tes.
En cas de doute, n’hésitez pas à utiliser notre correcteur d’orthographe et de grammaire Quillbot !
Pour éviter de mégenrer une personne, deux solutions sont préconisées pour écrire « la/le » en écriture inclusive : la·le ou lae.
En écriture inclusive, lorsqu’on ne souhaite privilégier ni l’un ni l’autre des genres au sein d’une formule de salutation, il suffit de retirer le titre de civilité ou de le remplacer par un mot ou une expression plus neutre.
Pour qui cherche à savoir comment utiliser le point-virgule dans les règles de l’art, deux règles typographiques sont à connaître absolument :
On met une cédille devant les voyelles « a », « o » et « u » quand on souhaite indiquer que la lettre « c » doit être prononcée /s/.
A contrario, même quand on prononce le « c » /s/, on ne met pas de cédille devant les autres voyelles, soit « e », « i » et « y ».