Quels sont les auteurs qui portent des aptonymes ?
Parmi les auteurs qui portent des aptonymes en rapport avec leur activité d’écrivain, nous pouvons citer :
- Raphaële Billetdoux, femme de lettres ;
- Francine Prose, romancière.
Parmi les auteurs qui portent des aptonymes en rapport avec leur activité d’écrivain, nous pouvons citer :
Parmi les noms propres en « u », on peut citer :
Les noms propres (noms de villes, pays, régions, personnes, planètes) s’écrivent toujours en majuscule.
L’adverbe qui correspond à l’adjectif vif est vivement.
L’adverbe qui correspond à l’adjectif savant est savamment.
Un adverbe a exactement la même fonction en espagnol qu’en français. Ainsi, il vient modifier le sens d’un autre mot (verbe, adjectif, autre adverbe) ou d’un groupe de mots au sein d’une phrase.
L’adverbe de fréquence en anglais, de la même manière qu’en français, sert à indiquer à quelle fréquence une action se produit.
Il se place avant le verbe principal ou le modal.
Les quatre adverbes de fréquence anglais les plus courants sont :
Parmi les nombreux noms communs en « u » en français, on peut citer :
En grammaire, un semi-auxiliaire est un verbe conjugué formant une périphrase lorsqu’il est associé à un infinitif non-complément du verbe. Il peut parfois être accompagné d’une préposition (venir de faire quelque chose, par exemple).
Liste des verbes semi-auxiliaires :
Parmi ces verbes, le verbe aller est celui qui est le plus souvent employé en français puisqu’il permet la construction du futur proche.
Exemples :
Parmi les noms propres en « x », on peut citer :
Les noms propres (noms de villes, pays, régions, personnes, planètes) s’écrivent toujours en majuscule.
Parmi les noms propres en « v », on peut citer :
Les noms propres (noms de villes, pays, régions, personnes, planètes) s’écrivent toujours en majuscule.
L’adverbe qui correspond au nom violence est violemment.
Les noms propres (noms de villes, pays, régions, personnes, planètes) s’écrivent toujours en majuscule.
Exemples :
En grammaire, une phrase verbale désigne une phrase contenant un verbe conjugué.
Par exemple :
Inversement, une phrase sans verbe sera qualifiée de phrase non verbale.
Le radical d’un mot, ou la racine, désigne la partie commune à tous les mots d’une même famille lorsqu’on supprime le préfixe, le suffixe et les terminaisons (désinences).
Par exemple :
Ensemble est un mot invariable lorsqu’on l’utilise comme un adverbe, mais variable en nombre lorsqu’il est employé comme substantif.
Nombre est un mot variable, qui s’accorde justement en nombre (c’est-à-dire soit au singulier, soit au pluriel).
Il devient néanmoins un mot invariable lorsqu’il compose le déterminant nombre de.
Le mot tranquille est variable lorsqu’il a fonction d’adjectif, mais invariable lorsqu’il a fonction d’adverbe.
L’adverbe loin est un mot invariable.
Le mot quelque est variable lorsqu’il a fonction d’adjectif numéral, mais invariable lorsqu’il a fonction d’adverbe.
En allemand, les conjonctions de coordination sont :
Le contraire d’un aptonyme est le contraptonyme.
Il fait référence à un nom qui entre en contradiction avec le métier ou une activité annexe d’une personne qui l’exerce.
Parmi les aptonymes les plus connus, on trouve :
En anglais, le mot aptonyme se dit « aptonym ».
À noter que l’anglais, contrairement au français, fait la distinction entre l’aptonyme simple et l’aptonyme porté par un personnage de fiction : dans ce cas, on parlera de charactonym.
Par exemple, Lucky Luke (lucky signifiant « chanceux » en anglais, pour un personnage qui échappe toujours à la mort par balle dans des circonstances hasardeuses) est un charactonym.
Il n’existe pas de terme équivalent en français.
En allemand, les propositions subordonnées relatives se construisent selon le modèle suivant :
Pronom relatif (+ compléments) + verbe conjugué
Important : on fait toujours précéder le pronom relatif qui ouvre une subordonnée relative d’une virgule.
Rappel : les pronoms relatifs en allemand sont der (masculin), die (féminin et pluriel) et das (neutre).
La fonction d’une proposition subordonnée relative varie selon qu’il s’agit d’une proposition subordonnée relative adjective ou d’une proposition subordonnée relative substantive.
En anglais, on trouve parmi les conjonctions de subordination :
En allemand, les conjonctions de subordination sont :
Certain est un mot variable qui peut être employé à la fois comme pronom indéfini et comme adjectif. Dans les deux cas, il s’accorde en genre et en nombre.
La langue anglaise, tout comme la langue française, compte 7 conjonctions de coordination :
En espagnol, il existe de nombreuses prépositions, parmi lesquelles :
En anglais, il existe de nombreuses prépositions, parmi lesquelles :
L’adverbe qui correspond à l’adjectif faux est faussement.
L’adverbe qui correspond à l’adjectif vaillant est vaillamment.
L’adverbe qui correspond à l’adjectif fou est follement.
L’adverbe qui correspond à l’adjectif prudent est prudemment.
L’adverbe qui correspond à l’adjectif fier est fièrement.
Le pronom relatif sert à introduire une proposition subordonnée relative. Il remplace alors un nom, un pronom ou un groupe nominal de la proposition principale, que l’on appelle l’antécédent.
Dans de rares cas, le pronom relatif n’a pas d’antécédent. Il a alors la fonction d’un groupe nominal.
Cent n’est pas un mot invariable, car il peut varier en nombre (pouvant passer de singulier à pluriel).
La règle est la suivante : cent prend un « s » comme marque du pluriel lorsqu’il n’est pas suivi d’un autre adjectif numéral.
Si « Malgré que » est une locution conjonctive dont l’usage est fautif, ce n’est pas le cas de Malgré tout, qui est un adverbe courant, synonyme de « Quoi qu’il en soit » ou « De toute façon ».
(titre de l’autobiographie de Jean d’Ormesson)
On retrouve également Malgré tout sous la forme de deux adverbes dissociés, assemblés pour les besoins syntaxiques de la phrase.
Solécisme étant un terme de linguistique très spécifique, il ne possède pas de synonyme à proprement parler. Néanmoins, on peut, si besoin, le remplacer par des termes plus génériques l’englobant, au cas où l’on cherche à éviter une répétition par exemple :
La syntaxe est un terme spécifique, rattaché aux notions de linguistique. Il ne possède donc pas de synonyme à proprement parler.
Néanmoins, quelques termes sont proches ou liés en termes de sens :
Une erreur de syntaxe, c’est la même chose qu’une faute de syntaxe, soit un oubli de mots ou un mot mal placé dans une phrase, si bien que l’énoncé final est fautif grammaticalement et/ou au niveau du sens qu’il exprime.
Ainsi, l’erreur de syntaxe est un terme synonyme de la faute de syntaxe, sans nuance de sens.
Le pronom relatif n’est, comme beaucoup de notions de grammaire et contrairement aux idées reçues, pas une spécificité francophone. Beaucoup d’autres langues intègrent des pronoms relatifs.
On peut citer, en guise d’exemple, les pronoms relatifs anglais (« who », « whom », « which », « that », « whose », « what »), les pronoms relatifs allemands (« der », « die », « das », « welche », « wo », « wer »…) ou encore les pronoms relatifs espagnols (« que », « quien », « cual »…).
La conjonction de subordination est différente du pronom relatif en ce qu’elle n’a pas la même fonction dans la phrase.
En effet, contrairement au pronom relatif, la conjonction de subordination ne reprend pas d’élément dans la phrase et n’a pas d’antécédent.
Signalons que Que peut être à la fois un pronom relatif ou une conjonction de subordination.
Un pronom relatif défini remplace un antécédent, tandis que les pronoms relatifs indéfinis n’ont pas d’antécédent.
Les pronoms relatifs définis sont qui, que, quoi, dont et où, mais aussi lequel, auquel et duquel (ainsi que leurs déclinaisons en genre et en nombre).
Les pronoms relatifs indéfinis sont qui, que, quoi, quiconque, quoi que et où que.
Mille est un adjectif numéral invariable ; il ne varie ni en genre ni en nombre, quels que soient les autres adjectifs numéraux qui le précèdent ou le suivent.
Haute en couleur, la langue française ne manque pas de gentilés originaux ! Farfelus, évocateurs ou improbables, voici un petit florilège des gentilés les plus insolites :
Pour former un gentilé, on ajoute la plupart du temps un suffixe à la fin du nom auquel il se rapporte.
Les suffixes les plus courants sont les suivants : « -ais », « -ain », « -ois »,
« -ien », « -in », « -éen », « -an ».
Toutefois, il arrive que le radical subisse une légère modification, voire que les gentilés se distinguent énormément des noms de lieux auxquels ils se rapportent.
Pour parler du nom des habitants, on utilise le mot gentilé.
Le gérondif en français, qui découle directement du gérondif en latin, n’est pas un mode verbal propre à notre langue. En effet, on rencontre également le gérondif en anglais. Dans la langue de Shakespeare, on l’appelle gerund, et il renvoie aux fameux verbes en « -ing ».
L’espagnol fait également la part belle au gérondif, puisqu’il opère même une distinction entre gérondif espagnol régulier et gérondif espagnol irrégulier.
Le gérondif présent est formé de la préposition en + du participe présent du verbe.
Le gérondif passé, beaucoup plus rare, est formé de la préposition en + du participe présent du verbe être ou avoir (étant ou ayant) + du participe passé du verbe.
On utilise le gérondif pour exprimer une simultanéité entre deux actions qui se réfèrent au même sujet.
En outre, le gérondif exerce souvent la fonction de complément circonstanciel (de temps, mais aussi de manière, de moyen, d’opposition, de cause et de condition).
Une incise est « une proposition généralement courte insérée dans une autre proposition ».
Aux incises dans les dialogues, on ne met jamais de majuscule, et ce même après un point d’interrogation, un point d’exclamation ou des points de suspension.
— Cette personne est dangereuse, tu devrais prendre tes distances, dit-elle.
— Je ne te crois pas ! affirma-t-il.
Les points cardinaux s’écrivent avec une majuscule lorsqu’ils désignent un lieu géographique ou une région et dans les noms propres.
Par contre, on écrit le point cardinal avec une minuscule quand il indique une direction, une orientation ou une exposition, mais aussi quand il a la fonction d’adjectif.
Le mot super est variable lorsqu’il a fonction d’adjectif, mais invariable lorsqu’il a fonction d’adverbe.
Temps est bel et bien un mot invariable, qui s’écrit de la même façon au singulier comme au pluriel quel que soit le sens qu’il revêt.
L’accord de l’adjectif possible dépend de ce qu’il est employé ou non avec un superlatif.
Employé sans superlatif, possible est variable.
Employé avec un superlatif, possible est aussi variable et peut prendre un « s »… comme il peut ne pas en prendre. Ce choix est à votre appréciation.
Néanmoins, il existe une exception à cette règle : lorsqu’aucun nom ni aucun adjectif ne se trouve entre le superlatif et le mot possible, ce dernier est invariable.
Il a conduit le plus vite possible pour arriver à la maternité à temps.
Dans son sens le plus commun, c’est-à-dire celui de « congé », de « période en dehors du travail », vacances est un mot invariable et prend un « s ».
Néanmoins, vacance peut être dépourvu de « s » s’il est employé dans le sens de « vide, inoccupé », pour parler d’un poste par exemple.
Ainsi, vacances est, de fait, un mot variable.
Souvent, qui est un adverbe de fréquence, est un mot invariable, qui ne prend jamais de « s ».
Pour, qui est une préposition, est un mot invariable, qui ne prend jamais de « s ».
Malgré, qui est une préposition, est un mot invariable, qui ne prend jamais de « s ».
Avec (qui peut être une préposition ou un adverbe) est un mot invariable.
Gaz étant un nom commun, la règle voudrait que ce soit un mot variable.
Néanmoins, une exception s’applique, car il s’agit d’un nom en « z », ce qui le rend invariable, même employé dans un contexte pluriel.
Concernant les adjectifs de nationalité, contrairement à l’anglais, on réserve la majuscule pour désigner les personnes qui sont originaires d’un pays ou qui y habitent.
Quant à la langue ou à l’adjectif qui correspond, on l’écrit sans majuscule.
Aucun est un cas très particulier.
Dans l’immense majorité des cas, il s’agit d’un adjectif indéfini à employer au singulier (mot invariable).
Néanmoins, on met aucun au pluriel lorsqu’il accompagne un nom qui existe seulement au pluriel ou un nom qui possède un sens bien spécifique au pluriel.
Techniquement, aucun est donc un mot variable.
Parmi étant une préposition, il s’agit d’un mot invariable.
Coloris n’est pas considéré comme un mot invariable en soi, mais le fait qu’il s’écrit aussi bien avec un « s » au singulier qu’au pluriel en raison de son étymologie fait que c’est tout comme.
Zoo étant un nom commun, on l’accorde au pluriel. Il prend dans ce cas un « s » terminal et n’est, par conséquent, pas invariable.
Lundi étant un nom commun comme tous les autres jours de la semaine (mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi et dimanche), il s’agit d’un mot variable (et non invariable) qui prend un « s » au pluriel.
Le mot Merci est invariable lorsqu’on l’utilise comme une interjection, mais variable en nombre lorsqu’il est employé comme substantif.
Le mot Plein peut être à la fois variable et invariable selon la fonction grammaticale qu’il occupe dans une phrase.