Souhaiter la bonne année à ses proches est l’occasion de leur témoigner votre amour. Et quoi de mieux, pour parler d’amour, que quelques vers de poésie…
Le passage à la nouvelle année offre aux enseignants une thématique saisonnière et aux élèves l’avantage indéniable de passer pour le petit génie de la famille à la soirée du réveillon.
Voici quelques vers festifs qui sauront ravir les oreilles des grands comme des petits…
Saison de transition, l’automne se prête plus que toute autre à la contemplation méditative qui caractérise le genre poétique. Les feuilles qui s’embrasent, qui tourbillonnent, qui recouvrent de leurs dernières couleurs une nature humide, pleurant, elle aussi, la fin de l’été, offrent un spectacle saisonnier grandiose à qui sait l’apprécier.
Et quoi de mieux que les grands classiques de la poésie, et les non moins grands anonymes, pour apprécier cette saison à sa juste valeur. Voici quelques vers automnaux qui réjouiront petits et grands…
Le langage est un système de signes qui permet de communiquer. Dans sa plus large définition, il s’agit d’un ensemble de signaux, qui peuvent être chimiques chez les fourmis, vocaux et graphiques chez les humains, ou encore chiffrés et codés en informatique.
Le langage se définit également comme une faculté, celle d’exprimer sa pensée et de comprendre celle des autres, à condition toutefois d’en partager le même code. Ce code ne se limite pas aux mots, il peut se traduire par des signes, des symboles, voire des pictogrammes, lorsqu’il est langage non verbal ou langage SMS.
Faculté de communication, système de signes, manière de parler, le langage est une vaste notion qui mérite une explication aussi détaillée qu’exhaustive.
Le verbe dire au passé simple de l’indicatif évoque une action passée. Il reste très employé dans un contexte narratif, notamment dans les dialogues, pour introduire les paroles des personnages.
Sa fréquence d’emploi est en partie liée à la simplicité de sa forme. Un simple coup d’œil à sa conjugaison permet de constater la similitude entre ses trois premières personnes et celles du présent de l’indicatif. Qui a dit que le passé simple devait nécessairement être compliqué ?
Temps composé du passé, le passé composé dissimule derrière son nom évocateur plus d’une subtilité.
Sa composition, le choix de l’auxiliaire accompagnant le verbe à conjuguer, ou encore la terminaison et l’accord de son participe passé sont autant de notions qu’il est indispensable de maîtriser pour employer adéquatement ce temps de l’indicatif.
Véritable passe-partout temporel, le passé composé ne se contente pas d’exprimer une action passée, il pallie, à lui seul, le déclin du passé simple et actualise des énoncés passés pour les rapprocher du présent.
En français, le participe passé est une forme verbale qui peut être utilisée comme un adjectif ou entrer dans la composition des temps composés du passé, tels que le passé composé ou le plus-que-parfait.
Qu’il soit adjectif ou forme verbale, le participe passé, et surtout son accord, constitue une des difficultés majeures de la grammaire française. Comme toute forme verbale, le participe passé possède une terminaison verbale, mais il s’accorde également au nom qu’il qualifie s’il est adjectif et, parfois, au complément direct du verbe, s’il compose un temps du passé.
La règle de l’accord du participe passé est complexe, certes, mais pas impossible à maîtriser lorsque certaines notions sont bien définies. Et puisque impossible n’est pas français, autant essayer de lever le voile sur un accord, dont la difficulté a le mérite de mettre tout le monde d’accord.
En français, l’impératif est un mode grammatical qui exprime un rôle sémantique particulier.
L’impératif présent et l’impératif passé véhiculent d’emblée une signification qui témoigne, au-delà du sens même du verbe conjugué, l’ordre, l’interdiction, l’exigence ou le souhait.
Sans sujet explicite, la forme minimaliste de la conjugaison de l’impératif possède pourtant un pouvoir immense : celui d’autoriser ou d’interdire, et même d’imposer une échéance.
Le verbe vouloir au passé simple de l’indicatif permet d’exprimer une intention passée, brève et circonscrite dans le temps.
Le verbe vouloir, ainsi que les formes pronominales se vouloir et s’en vouloir, est fréquemment employé malgré le déclin du passé simple. Il est surtout l’occasion idéale d’arrêter, une fois pour toutes, d’en vouloir à ce temps pas si simple !
Le verbe manger au passé simple de l’indicatif exprime une action commencée et terminée dans le passé.
Verbe du premier groupe, manger conserve la lettre « e » de son radical pour éviter la prononciation gue devant la voyelle « a » de sa terminaison. Et puisque la lecture ouvre l’appétit, voici un petit rappel de l’utilisation du verbe manger au passé simple…