La plupart des noms communs ont un pluriel régulier en français. Pour ce faire, leur terminaison prend communément un « -s » caractéristique.
Toutefois, quelques mots font exception à cette règle et fonctionnent avec un pluriel irrégulier : c’est le cas du nom soupirail.
Soupirail au pluriel : comment l’écrire ?
Singulier :
Que serait une cave sans un bon soupirail ?
Pluriel :
Que serait une cave sans de bons soupiraux ?
Que serait une cave sans de bons soupirails ?
Pour être sûr de bien comprendre de quoi il en retourne, zoom sur les tenants et les aboutissants de cette exception qui confirme la règle.
Pour des pluriels au cordeauSoupirail est loin d’être le seul substantif affublé d’un pluriel irrégulier, et posant question au plus grand nombre.
Pour éviter les erreurs en la matière, vous pouvez confier la relecture de vos textes à notre correcteur d’orthographe. Notre outil saura vous signaler toute coquille liée à un pluriel mal accordé, mais pas seulement. Fautes de syntaxe, néologismes, ou même solécismes impromptus ; au fait des dernières modifications orthographiques et surentraîné, rien ne lui échappe !
Et pour les plus curieux, d’autres ressources sont mises à votre disposition : reformulateur de textes, chatbot IA, et même un générateur de sources, pour ne citer qu’eux.
Cette palette d’utilitaires élaborés par des spécialistes de la langue française est accessible en ligne… et gratuite !
Le verbe Avoir, l’un des socles de la conjugaison en français, se conjugue à tous les modes. Parmi eux, on retrouve l’impératif.
Avoir impératifImpératif présent :
Aie
Ayons
Ayez
Impératif passé :
Aie eu
Ayons eu
Ayez eu
Pour avoir (que l’on considère ici en tant que verbe, et non en tant qu’auxiliaire) comme pour les autres verbes, l’impératif ne s’applique qu’à deux temps verbaux : le présent et le passé. Nonobstant, ce n’est pas sa seule particularité…
Pour des verbes impeccablement conjuguésL’impératif est un mode plutôt facile à appréhender, mais ce n’est pas le cas de tous ses homologues : le subjonctif, par exemple, aurait de quoi donner des sueurs froides aux plus aguerris d’entre nous. Quant au passé simple, il demeure la bête noire de nombreux écrivains et étudiants…
Quel que soit le temps, la personne ou le mode concernés, le correcteur d’orthographe QuillBot ne transige pas sur la conjugaison des verbes de tous bords, et saura rectifier le tir en cas de blanc ou d’étourderie. Confiez-lui vos écrits, et vous n’aurez plus jamais peur de laisser traîner une coquille !
En français, la plupart des noms communs ont un pluriel régulier. Pour ce faire, on accole un « -s » à leur suffixe.
Toutefois, quelques mots échappent à cette règle et fonctionnent avec un pluriel irrégulier : c’est le cas de Bail.
Bail au pluriel : comment l’écrire ?
Singulier :
Shera aimerait résilier son bail à l’amiable.
Pluriel :
Slimane et Antoine aimeraient résilier leurs baux à l’amiable.
Slimane et Antoine aimeraient résilier leurs bails à l’amiable.
Cependant, attention aux noms composés incluant le nom bail, qui pourraient bien vous jouer des tours en la matière…
Le pluriel juste, et bien plus encoreBail n’est pas le seul substantif qui soit affublé d’un pluriel irrégulier et qui pose question au plus grand nombre, loin de là.
Pour éviter les erreurs en la matière, vous pouvez confier la relecture de vos textes à notre correcteur orthographique. Celui-ci vous signalera toute coquille liée à un pluriel mal accordé, mais pas que. Fautes de syntaxe, néologismes, ou encore solécismes impromptus ; en fonction depuis un bail et surentraîné, rien ne lui échappe !
Et pour les plus perfectionnistes, nous mettons d’autres outils à votre disposition : reformulateur de textes, chatbot IA, et même un générateur de sources, pour ne citer qu’eux.
Cette palette d’utilitaires élaborés par des spécialistes de la langue française est disponible en ligne, et bien sûr, accessible gratuitement.
Le verbe Aller, très courant en français quel que soit le registre employé, se conjugue à tous les modes. Parmi eux, on retrouve l’impératif.
Aller impératifImpératif présent :
Va
Allons
Allez
Impératif passé :
Soyez allé
Soyons allés
Soyez allés
Pour aller comme pour les autres verbes, l’impératif ne s’applique qu’à deux temps verbaux : le présent et le passé. Nonobstant, ce n’est pas sa seule particularité…
Pour des verbes impeccablement conjuguésL’impératif est un mode plutôt facile à appréhender, mais ce n’est pas le cas de tous ses homologues : le subjonctif, par exemple, aurait de quoi donner des sueurs froides aux plus aguerris d’entre nous. Quant au passé simple, il demeure la bête noire de nombreux écrivains et étudiants…
Quel que soit le temps, la personne ou le mode concernés, le correcteur d’orthographe QuillBot ne transige pas sur la conjugaison des verbes de tous bords, et saura rectifier le tir en cas de blanc ou d’étourderie. Confiez-lui vos écrits, et vous n’aurez plus jamais peur de laisser passer une coquille !
Le verbe Profiter, plutôt courant en français, se conjugue à tous les modes. Parmi eux, on retrouve l’impératif.
Profiter impératifImpératif présent :
Profite
Profitons
Profitez
Impératif passé :
Aie profité
Ayons profité
Ayez profité
Pour profiter comme pour les autres verbes, l’impératif ne s’applique qu’à deux temps verbaux : le présent et le passé. Mais ce n’est pas sa seule particularité…
Parce que bien conjuguer ses verbes est impératif !L’impératif est un mode plutôt facile à appréhender, mais ce n’est pas le cas de tous ses homologues : le subjonctif, par exemple, aurait de quoi donner des sueurs froides aux plus aguerris d’entre nous. Quant au passé simple, il demeure la bête noire de nombreux écrivains et étudiants…
Quel que soit le temps, la personne ou le mode concernés, le correcteur d’orthographe QuillBot ne transige pas sur la conjugaison des verbes de tous bords, et saura rectifier le tir en cas d’erreur. Confiez-lui vos écrits, et vous n’aurez plus jamais peur de laisser traîner une coquille !
Raconter une histoire, lorsqu’on est romancier ou scénariste, c’est faire des choix. Et parmi ces choix cruciaux, il y a celui de la perspective narrative.
Sa fonction est comparable à celle d’une caméra au cinéma : on peut choisir de poser le boîtier sur l’épaule d’un narrateur qui se baladerait entre tous les lieux et les personnages.
Parfois, la lentille ne fait que capter l’image graphique de ce qu’elle voit, de manière purement objective, quand d’autres fois, elle s’offre le luxe de rentrer dans l’intériorité des personnages observés et de rapporter leurs pensées, opinions et émotions, en sautant d’esprit en esprit.
Ou bien, on peut placer l’objectif dans les yeux et le cerveau d’un personnage en particulier, lequel nous fait alors vivre les évènements sous le prisme de son propre regard et de sa subjectivité, sans que l’on accède à ce que les autres personnages autour de lui pensent ou éprouvent.
Cette dernière option a trait à une focalisation bien spécifique : le point de vue interne.
Point de vue interne : exemple« Ma fugue s’est décidée sur le coup de quatre heures. J’ai soudain réalisé la situation, prévu que Folcoche, sans paraître ridicule, ne pouvait organiser le siège de son propre fils dans sa propre maison. Me laisser prendre et fouetter, jamais de la vie ! Justement j’ai lu un passage de Chateaubriand où celui-ci relate le combat qu’il soutint contre son maître chargé de lui administrer les verges. Generose puer ! Nous ferons aussi bien que lui. Et même mieux ! Prenons la route. »
(Hervé Bazin, Vipère au poing)
Analyse :
Ici, la narration nous donne accès aux pensées du personnage-narrateur (Jean Rezeau, alias Brasse-Bouillon). Les faits et réflexions relatés le sont sous le prisme de sa connaissance globale de la situation et de sa façon de voir le monde qui l’entoure.
Par exemple, les phrases exclamatives, reconnaissables au point d’exclamation qui les termine, expriment sa combativité et sa détermination à fuguer pour échapper au joug de Folcoche — de son vrai nom Paule Pluvignec —, sa mère. Or, il ne s’agit pas de paroles qu’il prononce, et que d’aucuns auraient pu capter en l’écoutant pour les rapporter ; c’est un monologue interne.
Mais attention : si l’on a un peu vite tendance à penser les points de vue externe ou omniscient au « il/elle » et le point de vue interne au « je », les choses sont loin d’être aussi simples…
Gagner du temps (et vaincre la procrastination) grâce à QuillBot Écrire un manuscrit de fiction (ou tout autre texte au long court) est une vaste entreprise, passionnante mais semée d’embûches, et surtout, de raisons de se démotiver. En effet, votre cerveau, qui redoute plus que tout de sortir de sa zone de confort, fera tout pour vous détourner de votre projet de roman ou de nouvelle en mettant l’accent sur la moindre difficulté que vous pourriez rencontrer.
Heureusement, il existe des astuces pour vous faciliter la tâche, diminuer votre charge mentale, et surmonter votre syndrome de l’imposteur une bonne fois pour toutes.
On ne le répètera jamais assez : nul besoin de viser la perfection orthographique, linguistique et stylistique durant l’écriture du premier jet. Cependant, si l’idée de laisser traîner des fautes en cours de route vous bloque, un passage sur notre correcteur d’orthographe dernier cri saura éliminer les scories qui auraient pu se glisser sous votre plume sans y avoir été invitées (quelle outrecuidance !).
En amont, pendant et en aval de l’écriture, notre chat IA s’avérera une aide précieuse pour faciliter vos recherches et répondre à vos questions les plus techniques afin de garantir la précision et la vraisemblance de votre récit.
Quant à ce labeur qu’est la rédaction d’un synopsis, notre outil de résumé de texte est tout disposé à vous donner un fier coup de pouce !
Le verbe Prendre, très répandu en français, se conjugue à tous les modes. Parmi eux, on retrouve l’impératif.
Prendre impératifImpératif présent :
Prends
Prenons
Prenez
Impératif passé :
Aie pris
Ayons pris
Ayez pris
Pour prendre comme pour les autres verbes, l’impératif ne s’applique qu’à deux temps verbaux : le présent et le passé. Mais ce n’est pas sa seule particularité…
Conjuguer ses verbes sans surmenageL’impératif est un mode plutôt facile à appréhender, mais ce n’est pas le cas de tous ses homologues : le subjonctif, par exemple, aurait de quoi donner des sueurs froides aux plus aguerris d’entre nous. Quant au passé simple, il demeure la bête noire de nombreux écrivains et étudiants…
Quel que soit le temps, la personne ou le mode concernés, le correcteur d’orthographe QuillBot ne transige pas sur la conjugaison des verbes de tous bords, et saura rectifier le tir en cas d’erreur. Confiez-lui vos écrits, et vous n’aurez plus jamais peur de laisser traîner une coquille !
Le verbe faire, l’un des plus courants en français, se conjugue à tous les modes. Parmi eux, on retrouve l’impératif.
Faire impératifImpératif présent :
Fais
Faisons
Faites
Impératif passé :
Aie fait
Ayons fait
Ayez fait
Pour faire comme pour les autres verbes, l’impératif ne s’applique qu’à deux temps verbaux : le présent et le passé. Mais ce n’est pas sa seule particularité…
Bien conjuguer ses verbes, c’est impératif !L’impératif est un mode plutôt facile à appréhender, mais ce n’est pas le cas de tous ses homologues : le subjonctif, par exemple, aurait de quoi donner des sueurs froides aux plus aguerris d’entre nous. Quant au passé simple, il demeure la bête noire de nombreux écrivains et étudiants…
Quel que soit le temps, la personne ou le mode concernés, le correcteur d’orthographe QuillBot ne transige pas sur la conjugaison des verbes de tous bords, et saura rectifier le tir en cas d’erreur. Confiez-lui vos écrits, et vous n’aurez plus jamais peur de laisser traîner une coquille !
À moins d’être un saint (et encore…), qui n’a jamais eu à faire son mea culpa après avoir commis un impair ?
Cette locution latine a largement gagné sa place dans le langage courant à force d’être reprise dans le parler populaire. Mais si son sens général est plutôt bien connu du grand public, qu’en est-il de ses origines et des normes qui régissent son emploi à l’écrit ?
Mea culpa, mais il va d’abord vous falloir lire cet article pour le savoir…
Mea culpa def« Comme ça, tu deviens religieux. Tu t’amènes, tu tombes à genoux et tu cries que tu veux être sauvé. Ça s’appelle faire son mea culpa. »
(Mary Higgins Clark, Recherche jeune femme aimant danser)
Faire son mea culpa est ici synonyme de se repentir, de demander pardon.
Écrire sans culpa(bilité)Vous en avez assez de devoir faire votre mea culpa pour chaque faute d’orthographe ou formulation bancale qui vient se glisser dans vos textes ? La solution est peut-être plus simple et accessible que vous le pensez.
Le meilleur dans tout ça ? Vous n’aurez même pas besoin de préparer un mea culpa en bonne et due forme pour votre banquier : toutes ces fonctions sont gratuites et accessibles directement en ligne.
Il a probablement marqué vos journées passées sur les bancs de l’école, et pourtant, il y a de grandes chances que vous n’ayez plus entendu son nom depuis des années, et ce alors même qu’il demeure partie intégrante de votre quotidien. Que vous lisiez, conversiez ou rédigiez un mail tout ce qu’il y a de plus formel, le complément d’objet indirect est une fonction syntaxique des plus répandues dans le langage courant.
Dans une phrase, il sert à indiquer la personne (ou la chose) qui reçoit l’action du verbe. Pour ce faire, il vient compléter ce dernier par l’intermédiaire d’une préposition.
Complément d’objet indirect exempleJe me fie à ton jugement.
Explication :
À ton jugement est un groupe prépositionnel à fonction de complément d’objet indirect.
Il complète le verbe se fier grâce à l’intermédiaire de la préposition à. C’est justement la présence de cette préposition qui permet de lui accoler le qualificatif indirect, le distinguant d’un complément d’objet direct.
Concept fondateur de la grammaire traditionnelle, le COI (de son appellation abréviative) a, au fil du temps, opéré une légère mue par souci de clarté et de logique… Explications.
La grammaire et bien plus encore !À l’instar des normes orthographiques, maîtriser la grammaire du français demande de l’énergie, de la discipline, de la motivation… et surtout du temps. En effet, si Rome ne s’est pas faite en un jour, la légende de maître Capello non plus…
Alors, en attendant de pouvoir rivaliser avec feu Bernard Pivot, rien ne vous empêche de recourir à une aide extérieure.
Le correcteur orthographique de QuillBot est justement pensé pour détecter et rectifier en temps réel chaque coquille qui échapperait à votre vigilance. Grammaire, syntaxe, orthographe, ou encore conjugaison : aucune discipline linguistique ne lui résiste !