Publié le
5 novembre 2025
par
Laurine Tihay, BA
Actualisé le
5 décembre 2025
Le verbe continuer, relativement courant en français, se conjugue à tous les modes. Parmi eux, on retrouve l’impératif.
Continuer impératifImpératif présent :
Continue
Continuons
Continuez
Impératif passé :
Aie continué
Ayons continué
Ayez continué
Pour continuer comme pour les autres verbes, l’impératif ne s’applique qu’à deux temps verbaux : le présent et le passé. Mais ce n’est pas sa seule particularité…
Bien conjuguer ses verbes, c’est impératif !L’impératif est, par chance, un mode relativement facile à appréhender, mais ce n’est pas le cas de tous ses homologues : le subjonctif, par exemple, aurait de quoi donner des sueurs froides aux plus aguerris d’entre nous. Quant au passé simple, il demeure incontestablement la bête noire d’un grand nombre d’écrivains et étudiants…
Quel que soit le temps, la personne ou le mode concernés, le correcteur d’orthographe QuillBot ne transige pas sur la conjugaison des verbes de tous bords, et saura rectifier le tir en cas d’erreur. Confiez-lui vos écrits, et vous n’aurez plus jamais peur de laisser traîner une coquille !
Publié le
5 novembre 2025
par
Laurine Tihay, BA
Actualisé le
5 décembre 2025
Le verbe savoir, courant en français, se conjugue à tous les modes. Parmi eux, on retrouve l’impératif.
Savoir impératifImpératif présent :
Sache
Sachons
Sachez
Impératif passé :
Aie su
Ayons su
Ayez su
Pour savoir comme pour les autres verbes, l’impératif ne s’applique qu’à deux temps verbaux : le présent et le passé. Et figurez-vous que ce n’est pas sa seule particularité…
Pour savoir quelle est la bonne conjugaisonL’impératif est, par chance, un mode relativement facile à appréhender, mais ce n’est pas le cas de tous ses homologues : le subjonctif, par exemple, aurait de quoi donner des sueurs froides aux plus aguerris d’entre nous. Quant au passé simple, il demeure incontestablement la bête noire d’un grand nombre d’écrivains et étudiants…
Quel que soit le temps, la personne ou le mode concernés, le correcteur d’orthographe QuillBot ne transige pas sur la conjugaison des verbes de tous bords, et saura rectifier le tir en cas d’erreur. Confiez-lui vos écrits, et vous n’aurez plus jamais peur de laisser traîner une coquille !
Nota bene est une locution latine que l’on peut traduire par « note bien ».
Sa fonction ? Mettre en évidence, avec clarté et simplicité, une information importante au bas d’un texte, ou en marge de celui-ci.
Nota bene significationIndication d’une remarque, d’une note, d’une observation en marge d’un texte.
Très courante et parfaitement admise dans la littérature universitaire et académique, elle s’est également fait une place au sein de communications plus informelles grâce à sa signification transparente et sa praticité — qui ne s’est jamais demandé où placer telle ou telle information nécessaire à la compréhension d’un texte sans l’alourdir ? Grâce à Nota bene, plus besoin de tergiverser : un renvoi vers la fin de la page ou du chapitre, et le tour est joué !
Cependant, dans la pratique, son emploi pose parfois quelques questions chez ceux qui voudraient l’utiliser dans les règles de l’art. Car, bien sûr, son usage, notamment sous sa forme abrégée, requiert de se conformer à quelques exigences typographiques…
Nota bene (et bene scribere)Lassé d’avoir à faire votre mea culpa pour chaque faute d’orthographe ou formulation bancale qui vient s’inviter ex abrupto dans vos textes, a fortiori lorsqu’il s’agit de communication professionnelle ? In fine, la solution est peut-être plus simple et accessible que vous ne le pensez…
Publié le
4 novembre 2025
par
Laurine Tihay, BA
Actualisé le
5 décembre 2025
Le verbe Mettre, très courant en français, se conjugue à tous les modes. Parmi eux, on retrouve l’impératif.
Mettre impératifImpératif présent :
Mets
Mettons
Mettez
Impératif passé :
Aie mis
Ayons mis
Ayez mis
Pour mettre comme pour les autres verbes, l’impératif ne s’applique qu’à deux temps verbaux : le présent et le passé. Nonobstant, ce n’est pas sa seule particularité…
Conjuguer ses verbes comme il faut, c’est impératif !L’impératif est, par chance, un mode relativement facile à appréhender, mais ce n’est pas le cas de tous ses homologues : le subjonctif, par exemple, aurait de quoi donner des sueurs froides aux plus aguerris d’entre nous. Quant au passé simple, il demeure incontestablement la bête noire d’un grand nombre d’écrivains et étudiants…
Quel que soit le temps, la personne ou le mode concerné, le correcteur d’orthographe QuillBot ne transige pas sur la conjugaison des verbes de tous bords, et saura rectifier le tir en cas d’erreur. Confiez-lui vos écrits, et vous n’aurez plus jamais peur de laisser traîner une coquille !
Voilà une question qui peut paraître banale au premier abord, et pourtant…
Au pluriel, vous ne savez jamais si vous devez dire ou écrire « banals » ou « banaux » ?
La réponse est « banals »… du moins dans son sens le plus commun.
Pluriel de banal en français
Singulier :
C’est un discours si banal.
Pluriel :
Ce sont des discours si banals.
MAIS
Singulier :
As-tu déjà entendu parler du four banal ?
Pluriel :
As-tu déjà entendu parler des fours banaux ?
En français, la plupart des adjectifs ont un pluriel régulier. Pour ce faire, on leur accole un « -s » final. Pour les autres, ils fonctionnent avec un pluriel irrégulier.
Cependant, une poignée de mots voient leur pluriel changer en fonction du sens qu’on leur donne. C’est le cas de l’adjectif banal.
Le pluriel adéquat, et bien plus encoreBanal n’est pas le seul substantif qui soit affublé d’un pluriel qui varie en fonction du sens qu’on lui donne.
Pour éviter les erreurs en la matière, vous pouvez confier la relecture de vos textes à notre correcteur orthographique. Celui-ci vous signalera toute coquille liée à un pluriel mal accordé, mais pas que. Fautes de syntaxe, barbarismes, ou encore solécismes impromptus ; toute étourderie, même la plus banale, tombera dans ses filets.
Publié le
29 octobre 2025
par
Laurine Tihay, BA
Actualisé le
5 décembre 2025
Parmi les arbitrages cruciaux auxquels un auteur est confronté, qu’il soit débutant ou confirmé, il y a le choix du ou des points de vue narratifs à adopter pour son récit.
Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, ce choix n’a en réalité que peu à voir avec des préoccupations esthétiques : il détermine avant toute chose la manière dont le lecteur accède à l’histoire, aux personnages et aux évènements. Ce faisant, il influence cruellement sa perception et sa compréhension du récit.
La fonction du point de vue est équivalente à celles de la réalisation et de la caméra au cinéma : on peut choisir de fixer le boîtier à l’épaule d’un narrateur qui se baladerait entre tous les lieux et les personnages selon son bon vouloir, tel un maître des lieux (et du jeu). Ou bien, on peut placer l’objectif dans les yeux et le cerveau d’un personnage en particulier. Ce dernier nous fait alors vivre les évènements sous le prisme de son propre regard et de sa subjectivité. La différence est majeure : ce que les autres personnages autour de lui pensent ou éprouvent vraiment reste un mystère. On ne peut, qu’au mieux, le supposer ou tenter de le déduire.
Cas de figure plus rare : il arrive cependant que la lentille ne fasse que restituer l’image graphique, brute, de ce qu’elle voit, de manière purement objective. L’intériorité de tous les personnages, sans exception, nous est alors inconnue.
Dans ce cas, le doute n’est pas permis : on a forcément affaire à un point de vue externe.
Point de vue externe : exemple« Après le déjeuner, les garçons se rassemblèrent dans le gymnase pour le cours obligatoire d’éducation physique.
— Bien, messieurs, brama le professeur, nous allons essayer de muscler ces corps avachis et freluquets. Faites-moi le tour du gymnase. Arrêtez-vous après chaque tour et prenez votre pouls. Si vous ne le trouvez pas, venez me voir. Allez, et que ça saute ! conclut-il en leur donnant le signal du départ d’un claquement de mains.
Le groupe se mit lentement en branle. Ricanant dans sa barbe, le professeur alla s’adosser au mur pour houspiller à tout loisir les coureurs.
— Un peu de nerf, Hastings. Faudra me perdre un peu de cette graisse. Vérifiez votre pouls. Belle foulée, Overstreet, lança-t-il.
Know sourit et agita la main devant le professeur. »
(Nancy H. Kleinbaum, Le Cercle des poètes disparus)
Analyse :
Ce passage issu du Cercle des poètes disparus est une parfaite illustration du point de vue externe : tout ce que la narration exprime est le reflet d’une vision extérieure.
Il n’y a pas besoin d’être omniscient et de pénétrer la psyché des personnages pour rapporter leurs gestes. Ces mouvements dans l’espace et ces interactions correspondent à des faits purement factuels, observables par quiconque entrerait dans le gymnase, s’installerait dans les gradins et contemplerait la scène sans rien connaître de ceux qui s’y trouvent.
Notons toutefois que tout le roman n’est pas écrit sous ce point de vue, lequel serait intenable sur le long court vu le type d’histoire racontée.
Ceci répond encore une fois à une spécificité du point de vue externe : dans les récits de fiction, cette focalisation n’apparaît souvent que par touches fugaces, pour mieux mettre en avant les autres points de vue.
Le point de vue externe est le point de vue le moins utilisé, et pour cause : clinique et distancié, il freine l’identification du lecteur aux personnages, le Graal convoité par la plupart des œuvres de la littérature contemporaine.
Mais cette faiblesse peut également devenir une force lorsqu’il s’agit de cultiver, à travers la narration, une neutralité à toute épreuve, ou de créer la surprise…
Écrire plus vite, écrire plus juste, écrire mieuxAmi auteur, vous êtes votre pire ennemi. Vos méninges, qui n’aiment ni la nouveauté ni l’effort (car tel est fait le cerveau humain…), feront tout pour vous détourner de votre projet d’écrire un texte narratif en braquant vos projecteurs internes sur la moindre difficulté que vous pourriez rencontrer. Et comme on le comprend… En effet, écrire pour être lu est une entreprise de taille, passionnante mais semée d’embûches, et surtout, de raisons de se démotiver en cours de route.
Par chance, plusieurs astuces existent pour vous faciliter la tâche, diminuer votre charge mentale, et surmonter votre syndrome de l’imposteur.
Par une plus grande chance encore, celles-ci vous sont proposées par QuillBot.
On ne le répètera jamais assez : viser la perfection durant l’écriture d’un premier jet est contreproductif, et encore plus sur le plan de la forme et de l’orthographe. Nonobstant, si l’idée de laisser traîner des fautes en cours de route vous empêche d’avancer, un passage sur notre correcteur d’orthographe dernier cri saura éliminer jusqu’aux scories les plus subtiles.
Une fois votre texte relu et révisé, il sera peut-être temps de vous atteler à rédiger un synopsis. Pour ce faire, notre outil de résumé de texte saura se montrer un assistant dévoué.
Quant à la phase de recherches, notre chat IA s’avérera une aide précieuse pour répondre à vos questions. L’objectif ? Gagner en précision et en vraisemblance. Votre récit vous en saura gré.
Publié le
24 octobre 2025
par
Laurine Tihay, BA
Actualisé le
5 décembre 2025
Le verbe Être, peut-être le plus important de la langue française, se conjugue à tous les modes. Parmi eux, on retrouve l’impératif.
Être impératifImpératif présent :
Sois
Soyons
Soyez
Impératif passé :
Aie été
Ayons été
Ayez été
Pour être (que l’on considère ici en tant que verbe, et non en tant qu’auxiliaire) comme pour les autres verbes, l’impératif ne s’applique qu’à deux temps verbaux : le présent et le passé. Et ce n’est pas sa seule particularité…
Conjuguer un verbe : tout un artL’impératif est un mode plutôt facile à appréhender, mais ce n’est pas le cas de tous ses homologues : le subjonctif, par exemple, aurait de quoi donner des sueurs froides aux plus aguerris d’entre nous. Quant au passé simple et ses terminaisons qui sonnent comme étranges à l’oreille, il demeure sans conteste la bête noire de nombreux écrivains et étudiants…
Quel que soit le temps, la personne ou le mode concernés, le correcteur d’orthographe QuillBot ne transige pas sur la conjugaison des verbes de tous bords, et saura rectifier le tir en cas de blanc ou d’étourderie. Confiez-lui vos écrits, et vous n’aurez plus jamais peur de laisser traîner une coquille !
Publié le
22 octobre 2025
par
Laurine Tihay, BA
Actualisé le
5 décembre 2025
Le verbe Attendre, plutôt courant en français, se conjugue à tous les modes. Parmi eux, on retrouve l’impératif.
Attendre impératifImpératif présent :
Attends
Attendons
Attendez
Impératif passé :
Aie attendu
Ayons attendu
Ayez attendu
Pour attendre comme pour les autres verbes, l’impératif ne s’applique qu’à deux temps verbaux : le présent et le passé. Mais ce n’est pas sa seule particularité…
Bien conjuguer ses verbes, c’est impératif !L’impératif est, par chance, un mode relativement facile à appréhender, mais ce n’est pas le cas de tous ses homologues : le subjonctif, par exemple, et encore plus dans sa déclinaison à l’imparfait, aurait de quoi donner des sueurs froides aux plus aguerris d’entre nous. Quant au passé simple, il demeure incontestablement la bête noire d’un grand nombre d’écrivains et étudiants…
Quel que soit le temps, la personne ou le mode concernés, le correcteur d’orthographe QuillBot ne transige pas sur la conjugaison des verbes de tous bords, et saura rectifier le tir en cas d’erreur. Confiez-lui vos écrits, et vous n’aurez plus jamais peur de laisser traîner une coquille !
Publié le
22 octobre 2025
par
Laurine Tihay, BA
Actualisé le
5 décembre 2025
La narration, ou l’art de raconter des histoires… Et quel art ! Depuis la nuit des temps, qu’ils se rassemblent autour d’un feu, dans une salle de cinéma, devant une pièce de théâtre ou derrière un écran, les êtres humains raffolent qu’on leur raconte quelque chose.
Cela peut être l’épopée d’un héros, une histoire d’amour contrariée, un mystère à résoudre, une descente aux enfers, la déchéance d’une société, une quête périlleuse, ou encore le drame d’une vie… En vérité — et c’est une excellente nouvelle pour tous les amoureux du récit —, il y a autant d’histoires à conter que de gens pour les écouter.
Pourtant, derrière le mythe de l’écrivain, du scénariste ou du conteur touché par la grâce (ou sa muse, c’est selon), il existe un véritable artisanat du récit, fait d’usages tacites et de règles. Cela commence par la nécessité d’effectuer un arbitrage essentiel en matière de narration : choisir sous quel angle raconter son histoire, et à travers quel regard.
Narration : exemple« Ellwood était préfet, aussi cette année-là jouissait-il d’une chambre magnifique avec une fenêtre donnant sur l’étrange avancée d’un toit. Il passait son temps à s’aventurer dans des endroits où il n’aurait pas dû. Toutefois, c’était Gaunt qui goûtait le plus ce perchoir sur les toits. Il aimait regarder les garçons entrer et sortir de Fletcher Hall pour chaparder des biscuits, les préfets voguer sur la pelouse, l’organiste quitter la chapelle. Cela l’apaisait de voir l’école fonctionner sans lui, d’être au-dessus de la mêlée.
Ellwood appréciait aussi de s’asseoir sur le toit. Il donnait à sa main la forme d’une arme et tirait sur ceux qui passaient. »
(Alice Winn, Les Ardents)
Analyse :
L’incipit (soit les tout premiers mots) du roman d’Alice Winn, Les Ardents, introduit d’emblée les deux personnages principaux qui porteront le récit dans le cadre où ils évoluent en premier, soit l’école privée dont ils sont tous les deux pensionnaires.
En se plaçant au-dessus du décor et en plongeant dans les pensées et les sentiments des deux personnages, et non d’un seul, l’autrice choisit de s’appuyer sur une narration que l’on dit omnisciente.
Lorsqu’on parle de narration en littérature, c’est souvent pour aborder la question des points de vue narratifs ou de la personne narrative.
Gagner du temps (et vaincre la procrastination) grâce à QuillBotÉcrire un texte narratif est une vaste entreprise, passionnante mais semée d’embûches, et surtout, de raisons de se démotiver. En effet, votre cerveau, qui redoute plus que tout de sortir de sa zone de confort, fera tout pour vous détourner de votre projet de roman ou de nouvelle en braquant vos projecteurs internes sur la moindre difficulté que vous pourriez rencontrer.
Heureusement, il existe des astuces pour vous faciliter la tâche, diminuer votre charge mentale, et surmonter votre syndrome de l’imposteur une bonne fois pour toutes.
On ne le répètera jamais assez : viser la perfection orthographique, linguistique et stylistique durant l’écriture du premier jet est inutile et contreproductif. Cependant, si l’idée de laisser traîner des fautes en cours de route vous bloque, un passage sur notre correcteur d’orthographe dernier cri saura éliminer les scories qui auraient pu se glisser sous votre plume sans y avoir été invitées (ces outrecuidantes !).
En amont, pendant et en aval de l’écriture, notre chat IA s’avérera une aide précieuse pour faciliter vos recherches et répondre à vos questions les plus techniques afin de gagner en précision et en vraisemblance pour votre récit.
Quant à ce labeur qu’est la rédaction d’un synopsis, notre outil de résumé de texte est paré pour vous donner un fier coup de pouce !
Publié le
15 octobre 2025
par
Laurine Tihay, BA
Actualisé le
5 décembre 2025
Le verbe Hésiter, plutôt courant en français, se conjugue à tous les modes. Parmi eux, on retrouve l’impératif.
Hésiter impératifImpératif présent :
Hésite
Hésitons
Hésitez
Impératif passé :
Aie hésité
Ayons hésité
Ayez hésité
Pour hésiter comme pour les autres verbes, l’impératif ne s’applique qu’à deux temps verbaux : le présent et le passé. Mais ce n’est pas sa seule particularité…
Bien conjuguer ses verbes, c’est impératif !L’impératif est, par chance, un mode relativement facile à appréhender, mais ce n’est pas le cas de tous ses homologues : le subjonctif, par exemple, aurait de quoi donner des sueurs froides aux plus aguerris d’entre nous. Quant au passé simple, il demeure incontestablement la bête noire d’un grand nombre d’écrivains et étudiants…
Quel que soit le temps, la personne ou le mode concernés, le correcteur d’orthographe QuillBot ne transige pas sur la conjugaison des verbes de tous bords, et saura rectifier le tir en cas d’erreur. Confiez-lui vos écrits, et vous n’aurez plus jamais peur de laisser traîner une coquille !
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