J’ai rencontré le nouveau voisin sur le palier du deuxième.
En plongée, il faut respecter les paliers de décompression.
Ces paliers sur le graphique indiquent les phases de stagnation.
Si la grande majorité des locuteurs mettent, à tort, la prépositionà après le verbe pallier, certains en oublient la double consonne de son radical.
Entre paronyme, homophone et autre complément direct, une simple explication linguistique devrait suffire à pallier erreurs grammaticales et doutes orthographiques !
Avis à tous ceux qui veulent atteindre le palier supérieur…Les outils d’aide à la rédaction de QuillBot, que ce soit le correcteur d’orthographe ou le reformulateur de texte, sont de véritables soins palliatifs pour traiter une orthographe non soignée et une grammaire dé-générative.
L’IA peut aussi vous expliquer la différence entre les verbes transitifs directs et indirects. Quant à éradiquer l’erreur « pallier à » de la prose des francophones, il s’agirait plutôt d’un miracle que d’un remède… qui est parfois pire que le mal !
Comme la plupart des adverbes, nulle part est invariable. Il associe toujours l’adjectifnul, accordé au féminin, soit nulle, au mot part, nom commun féminin.
Nulle part ou nul part ?
Je l’ai cherché partout et je ne l’ai trouvé nulle part !
Il ne va nulle part sans son autorisation.
Ce type, qui sort de nulle part, est tout sauf crédible.
Si nul devient nulle, c’est parce qu’en termes d’accord, cet adjectif fait plus que sa part…
Avis à ceux qui ne vont nulle part en français…Si vous trouvez nul le fait d’accorder un adjectif en genre et en nombre avec le nom qu’il qualifie, les outils QuillBot, notamment le correcteur orthographique ou le reformulateur de texte, sont faits pour vous.
Le chat IA peut même vous souffler un oxymore, avec nulle part et partout, pour transformer, en tout ou en partie, votre prose… à part.
Et si vous pensez être nuls en français, n’oubliez pas que bien des règles de sa grammaire sortent de nulle part !
Les verbes amener et emmener sont des paronymes qui sèment la confusion chez les francophones.
Leur infime différence de sens repose sur le lieu de destination ou de provenance de l’être vivant dont on parle.
Emmener ou amener ?
Amener : conduire quelqu’un en direction de
Peux-tu amener les enfants au parc ?
Elle nous amenait à l’école dans sa coccinelle jaune.
J’ai amené Pilou chez le vétérinaire.
Emmener : quitter un endroit avec quelqu’un, l’entraîner avec soi
Viens, me dit-elle, je t’emmène en virée dans les bas-fonds de Bangkok.
Tu l’as emmené où exactement ?
Les gendarmes l’emmenèrent au poste.
Cette différence de sens n’est pas fortuite : entre préfixe et étymologie, la linguistique a toujours le dernier mot…
Avis à tous ceux qu’un bon vent amène…Les paronymes amener et emmener sont plutôt faciles à différencier une fois que l’on connaît leur secret sémantique.
Temps de l’assertion et de la certitude, les temps de l’indicatif regroupent quatre temps simples, quatre temps composés, quatre temps (en théorie) surcomposés, et évidemment des exceptions.
Figure de proue de la conjugaison française, le présent, le passé composé et le futur proche résistent pour l’instant à l’outrage du temps… mais pour combien de temps ?
Avis aux nostalgiques du Bescherelle…Les outils d’aide à la rédaction QuillBot, comme le correcteur orthographique et le reformulateur de textes, sont les indispensables d’une conjugaison irréprochable.
Et si l’IA est responsable de la mise au rancart de certains ouvrages remarquables, c’est bien aux algorithmes que l’on doit ce gain de temps aussi incontestable… qu’appréciable !
En français, le futur simple et le conditionnel présent se distinguent par la présence ou non d’un « s » final à la première personne du singulier.
J’aurais ou j’aurai
J’aurai = certitude :
À 18 ans, j’aurai le droit de voter.
J’aurais = politesse, condition ou regret :
J’aurais aimé vous rencontrer.
J’aurais plus de temps si j’arrêtais de travailler.
J’aurais dû m’en soucier plus tôt.
Conjugué au futur, aurai évoque la certitude que le locuteur possédera quelque chose dans un avenir plus ou moins éloigné.
Conjugué au conditionnel, aurais s’utilise dans une formule de politesse ou pour exprimer un regret ou une hypothèse.
Au présent, le futur est souvent employé en lieu et place du conditionnel, ce qui finit de confondre les locuteurs. Entre j’aurais et j’aurai, l’hypothèse la plus probable reste celle de se tromper !
Avis à tous ceux qui auraient aimé avoir !Si vous croyez que j’aurai et j’aurais auront définitivement votre peau, confiez donc vos mots aux outils d’aide à la rédaction de QuillBot !
En français, les temps composés présentent l’association d’un auxiliaire et d’un participe passé.
Les temps composés de l’indicatif : le verbe aller
Passé composé :
J’y suisallée.
Plus-que-parfait :
Tu y étaisallée.
Futur antérieur :
Elle y seraallée.
Conditionnel passé :
Nous y serionsallées.
Passé antérieur :
Elles y furent allées.
Opposés aux temps simples, les temps composés en sont toutefois le pendant : à chaque forme simple correspond une forme composée.
Cette correspondance, loin d’être fortuite, souligne l’aspect des verbes et leur pouvoir à faire durer ou non l’action. En conjugaison plus qu’ailleurs, leurs flexions alimentent nos réflexions…
Avis à tous ceux qui souhaitent conjuguer leurs forces…En matière de rédaction, les outils QuillBot, comme le correcteur orthographique et le reformulateur de textes, sauront parfaitement rectifier la terminaison de vos verbes et assurer la cohésion de votre verve.
Vouloir à tout prix se passer de l’IA pour conjuguer le passé simple ou le conditionnel passé relève davantage d’une tendance masochiste que d’un amour inconditionnel du Bescherelle.
Sachez toutefois qu’il n’y a rien de tel que l’intelligence humaine pour conjuguer talent et créativité…
En français, l’imparfait de l’indicatif est un temps du passé qui exprime une action en cours. Sa valeur aspectuelle permet de prolonger cette action dans le passé ou de la répéter.
Conjugaison imparfaitTous les jours, je parcourais ce même trajet. Je marchais tête baissée, les yeux rivés sur le bord du trottoir. Je descendais les bateaux d’un côté pour les remonter de l’autre.
J’évitais les crottes de chien et les chewing-gums fraîchement collés au bitume. Je savais chaque fissure, chaque plaque d’égout ; je reconnaissais les rues aux pieds des lampadaires et aux nuances d’asphalte.
J’étais une fille dans une grande ville française. Je me faisais petite, invisible, inexistante. Je m’effaçais de l’espace public pour mieux y survivre.
Généralement associé au passé simple, l’imparfait permet de planter, dans le passé, un décor temporel sans limites concrètes, mais qu’il orchestre pourtant à la baguette.
À la fois duratif, itératif et facile à conjuguer, l’imparfait joue les maestros sur tous les tableaux, y compris celui du présent. Ses doubles voyelles lui donnent pourtant un léger goût d’inachevé…
Avis aux imparfaits du français…Temps simple du passé, l’imparfait est simplement loin d’être parfait.
Heureusement, les outils d’aide à la rédaction de QuillBot, comme le correcteur d’orthographe ou le reformulateur de texte, s’occuperont autant des imperfections de votre prose que des terminaisons de l’imparfait.
Et puisque personne n’est parfait, acceptez donc un peu d’aide de l’IA. Les terminaisons imparfaites n’auront qu’à bien se tenir devant votre parfaite maîtrise graphique de riions et riiez !
Tu n’hésites pas à prendre des risques, et c’est ce qui me plaît chez toi !
Statistiquement, il y a à peu près 99,9 % de chances que vous vouliez utiliser la forme à l’impératif présent, qui s’écrit sans « s », dans tous les cas de figure.
Et si une aussi forte probabilité statistique ne vous convainc toujours pas, une explication linguistique devrait définitivement vous permettre d’arrêter… d’hésiter !
Par contre, si vous voulez enfin comprendre d’où vient ce « s » final qui fait tant hésiter les francophones à l’impératif, mettez donc votre cerveau en mode lecture…
En français, le passé du subjonctif permet d’exprimer l’antériorité d’une action sur une autre.
À l’instar du subjonctif présent, le subjonctif passé énonce aussi des faits ou des actions dont la réalisation est incertaine ou supposée.
Subjonctif passé : exemples
Je souhaite que tu aies fini le patio avant l’arrivée de l’hiver.
Je doute qu’elles sesoient déjà levées.
Formé de l’auxiliaire être ou avoir, le passé du subjonctif, ou subjonctif passé, garde néanmoins un pied dans le système verbal du présent.
Si cette utilisation paraît incohérente, elle est au contraire tout à fait justifiée lorsqu’on connaît le rôle subjectif du subjonctif dans les énoncés.
Entre doute passé et présent supposé, le subjonctif passé est, à défaut d’être simple, un temps composé qui compose tout simplement avec le passé du présent…
Avis à tous ceux qui ne veulent plus perdre leur temps… de verbe !Comme son nom ne l’indique pas, le subjonctif passé s’utilise autant au présent qu’au passé. Si vous l’ignoriez, sachez que les outils QuillBot, eux, savent parfaitement conjuguer les verbes des propositions subordonnées exigeant le subjonctif.
D’autre part, l’IA est un excellent outil d’aide à la rédaction qui connaît tous les temps et tous les modes, le tout, en un rien de temps et surtout sans mode… d’emploi !
Le verbe faire, conjugué au présent de l’indicatif et à la première personne du singulier, se termine par un « s ».
Je fait ou je fais
Je fais du thé, tu en veux ?
Je fais du ski tous les hivers.
Je fais ce que je veux.
Je me fais de nouveaux amis chaque jour.
Je fait
Si les terminaisons du présent sont généralement maîtrisées, il suffit qu’un pronom personnel complément se glisse entre le sujet et le verbe pour entraîner les locuteurs sur la mauvaise pente.
Voici une petite explication pleine de bon sens qui devrait rendre cette pente plus douce et surtout vous la faire remonter… dans le bon sens !
Avis aux faiseurs d’erreurs… Si vous hésitez devant la conjugaison du verbe faire au présent, vous devriez laisser faire les outils d’aide à la rédaction de QuillBot.
Le correcteur d’orthographe gratuit de QuillBot vérifie votre grammaire, votre ponctuation et votre orthographe et vous aide à améliorer votre écriture.
Utilisez-le pour peaufiner vos rapports, vos essais, vos e-mails et bien d'autres documents, afin de toujours donner le meilleur de vous-même.